Audio slideshows

L’armée possède ses propres drones, mais à quoi servent-ils?

(Objet multimedia initialement publié sur Apache en Français le 9 janvier 2013)

La presse internationale relate régulièrement les faits de guerre menés par les drones américains à l’intérieur des frontières pakistanaises. Mais l’armée belge possède également ses propres avions sans pilotes, dont certains volent au-dessus de nos têtes.

Utilisés pour des missions d’un tout autre genre que celles de leurs semblables américains, les drones belges n’embarquent aucun système létal et sont le plus souvent déployés dans l’espace aérien national qu’à l’étranger. Leurs tâches principales restent la reconnaissance et la surveillance  de zones du territoire. Apache est allé à la rencontre du 80 UAV Squadron de la Défense.

  • En visionnant ce diaporama sonore, n’hésitez pas à sélectionner la qualité d’image HD dans la fenêtre Youtube ci-dessous. Il suffit de cliquer sur la quatrième icône en bas à droite.

Entrainement aux combats urbains

« Beyrouth, Mogadiscio, Grozny, Mitrovica, Kaboul, Abidjan, Gaza… Les trois quarts des conflits se déroulent aujourd’hui en zone urbaine, au milieu des populations, quand ce n’est pas contre elles. »

(Le Monde Diplomatique, mars 2009)

Voici un entrainement aux combats urbains du 2/4 Régiment de Chasseurs à Cheval de l’armée belge. Malgré les muzzle flashes, les morts et les blessés factices, la tension et l’adrénaline sont aux rendez-vous. Attention les oreilles, ça claque!

Grève sauvage de Bruxelles Propreté

Le jeudi 22 septembre 2011 au matin, des agents de Bruxelles Propreté ont lancé une grève sauvage. Explications de Pierre Moonen, représentant du SLFB.

Le Psylophone : Aux sources d’une culture alternative et libertaire de Boitsfort

Photographie: Benoît Theunissen
Son: Caroline Meyer

Le Psylohone ne ressemble pas aux restaurants qu’on a coutume de connaître. Son histoire incarne le cœur d’une certaine culture alternative et libertaire de Boitsfort. Aujourd’hui, le restaurant vit sur ses mémoires. Les choses évoluent, les gens passent. Mais l’âme du lieu reste la même.

La naissance du Psyslophone est intimement liée à l’époque des communautés. Dans les années 80, la rue de l’Hospice – où se trouve le restaurant – en hébergeait plusieurs. Il était possible d’y trouver un logement pour pas cher et dans une ambiance très collective.

L’origine du nom Psylophone remonte déjà à une trentaine d’années. Il s’agit de la contraction de « xylophone », un instrument de musique et de « psilocybe », un champignon hallucinogène. L’appellation du restaurant reflète l’état d’esprit du quartier à l’époque de sa création.

Sans Poulou, le patron, le restaurant n’aurait pas le cachet que les clients apprécient tant. Barbu, un peu bohême et amateur de bons verres, Poulou joue le rôle de gardien de l’esprit de l’endroit. Poulou est de son temps. Il n’y a par exemple aucun lecteur de cartes bancaires dans son restaurant.

Malgré toute la nostalgie qui habite l’endroit, le quartier évolue. Les loyers ont augmenté. Ce qui fait que les gens sont devenus, pour la plupart, propriétaires de leurs logements. Il y a donc très peu de mouvements démographiques dans le quartier puisque de moins en moins de personnes déménagent. La culture du passé y connaît un essoufflement, dans l’attente de quelque chose de nouveau.

Manifestation en soutien aux étudiants chiliens

Afin de contrer l’émergence de tout mouvement de contestation de jeunes, Pinochet a privatisé l’enseignement. Aujourd’hui, les étudiants chiliens sont encore victimes de cette décision.


La Révolution des Frites / De Friet revolutie

Le jeudi 17 février 2011, des milliers d’étudiants se rassemblaient à Bruxelles et dans les principales villes de Flandres et de Wallonie pour vivre « La révolution des frites ».

Cela faisait 249 jours qu’aucune formation d’un gouvernement fédéral n’avait vu le jour en Belgique.

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